Identité
Nom : Maïlay
Prénom : Morowë
Surnom : //
Âge : 17 ans
Race : Lycanthrope
Informations
Description du caractère : Morowë possède en quelque sorte une personnalité « apparente » et une personnalité « interne ». En effet, il reste impassible en toutes circonstances, il n’élève jamais un mot au dessus de l’autre, cependant…à l’intérieur çà s’agite extrêmement, râle, grogne, s’énerve, maudit et ect…les gens les mieux entraînés peuvent lire ce qui se passe en lui à travers ses yeux.
Ce n’est pas un masque c‘est sa nature. Il est introverti sans pour autant en être timide. S’il doit parler à quelqu’un ou devant un public çà ne lui pose aucun problème.
Il est solitaire et compte bien le rester. La simple idée qu’un autre loup lui impose sa dominance lui hérisse les poils, cependant il n’a pas trop le choix à cause de ses faiblesses physiques et d’une autre part de son instinct, alors, il daigne se laisser dominer par un adulte bien qu’en renâclant. Par contre pour un loup de son âge ou autour, hors de question ! Là il laisse son instinct de solitaire s’exprimer et même s’il n’a aucune chance de vaincre il jouera des dents et des griffes… En parlant de se battre, il n’aime pas vraiment çà. Il préfère de loin chasser…
Bien qu’habituellement calme et posé il a besoin de se défouler pour arriver à ce stade. Il raffole de la course à pieds et s’y démarque fortement… S’il ne le fait pas il tourne en rond comme un lion en cage et quand on l’aborde au lieu de se retrouver face a son flegme légendaire on se trouve face à un loup de mauvaise humeur et agressif qui a du mal à se reprendre….
Description physique : Comme celui de tous ses ascendants son corps est frêle mais pas androgyne. Son allure est légère, pourtant, quand on l’observe, on devine dans ses gestes sa force et son l’agilité. Ses mouvements sont félins et lents, assurés et décisifs. Il n’aime pas faire les choses sans raisons, aucun de ses gestes n’est inutile…
Ses doits fins et délicats semblent faits pour caresser un piano. Son visage a une forme en pointe et chacun de ses traits est aristocratique. Ses cheveux soyeux tombent entourent son visage, un peu long, coupé en dégradé et d’un ton brun avec de nombreux reflets roux dés que le soleil tape dessus. Elégante et raffinée, sa bouche fine a un ton plutôt rosé s’harmonisant avec la couleur pèche de sa peau. Son nez pique légèrement vers le haut conférant à son visage un petit air hautain qui convient parfaitement à son apparence physique et son visage impassible. Tout ce que son visage et son corps n’expriment pas, ses yeux le font. Ce sont les miroirs de son âme comme certain se plaisent à dire. Ses yeux si expressifs sont vairons, celui de droite est ambré, brillant et déroutant rappelant parfois un soleil si la lumière l’éclaire directement. Celui de gauche au contraire est plus sombre, plus envoûtant, le vert d’une forêt profonde…
Coté vestimentaire il porte toujours des vêtements semblables, un pantalon cintré et une chemise à grand col blanc voir beige. Il se laisse parfois aller à enrouler un long ruban de velours noir autour du cou…
Note particulière :
- Ses yeux vairons…
- Son petit gabarit pour un loup…
- Son bras gauche bien qu’apparemment normal ne possède quasiment pas de force, bien moins qu’un humain paresseux c’est pour dire. Ses doits sont engourdis, maladroits, tenir une fourchette dans sa main est tout un défit qu’il relève tout les jours en maudissant copieusement les humains…
- Adore les framboises (des bonbons pour lui)…
Histoire
Tout commence avec Elsa, sa mère. Née dans un milieu aisé elle était promise à un grand avenir. Belle, d’apparence douce et intelligente, elle avait tout pour plaire. Cependant elle souffrait d’un maux très important, l’ennui. Tout l’ennuyait, elle était lassée de tout, rien ne l’intéressait. Elle tentait tant bien que mal de se distraire, elle en arriva au point de vouloir connaître le grand d’amour quitte à ce qu’il soit fictif. Ce qu’elle fit, elle se mariât à un homme nommait Maïlay qui, lui, était réellement fou amoureux. Mais l’euphorie qu’engendrent tous ces changements disparut rapidement. Heureusement elle retrouva de quoi occuper son esprit avec son ventre s’arrondissant… Naquit Mécraï (le nom étant une fantaisie créative de la mère) mais… l’ennui revint après quelques années, pourtant elle restait, tentant de se détendre dans les bois entourant sa grande maison. Un jour, elle fut attaquée et mordu…
Passée la douleur, qu’elle rebondissement fabuleux ce fut pour elle ! Elle se sentait enfin elle-même avec ce nouvel esprit, ces nouvelles aptitudes et tout ce qui tournait autour… Elsa abandonna mari et enfant sans un regard en arrière…
Deux à trois ans plus tard, ce fut au tour de Morowë de voir le jour. La louve fut ravie d’avoir un enfant avec pour père un magnifique loup qu’elle s’était choisie. Mais à nouveau que de déception ! Il était tout petit, tout frêle et il se révéla rapidement handicapé de la patte avant gauche. Elle était déçue, vraiment déçue, il avait prit la morphologie d’Elsa alors que celle ci voulait un beau louveteau puissant et fort… Le rejetant à demi elle tentât de passer le nouvel ennuie en ce mettant en tète d’inculquer ce qu’elle connaissait à son louveteau…Très fertile, elle eut d’autres petits plus à son goût. Morowë continuait de trainer dans ses pattes et ne se laissait pas marcher dessus, grognant, attaquant si nécessaire. Sa rage de vivre eut grâce aux yeux d’Elsa qui l’acceptât un peu mieux…
Cependant, les années passant, Morowë fut totalement rejeté par sa mère. Ses frères et sœurs le brutalisaient et son attitude à refuser toute soumission commençait à de plus en plus énerver les membres de la meute et surtout son dominant… Le jeune loup, tout juste âgé de treize ans désertât sa meute pour vivre en solitaire (stupide crise d’adolescence diront nous)…
Il n’y a donc rien d’étonnant à le retrouver couverts de blessures importantes, épuisés, incapable de bouger, camouflé dans les buissons d’un grand jardin…
Morowë fut découvert par le jeune homme de la maison, qui, loin d’être effrayé de trouver un loup sous sa fenêtre, le soignât avec minutie. Le loup était tout d’abord méfiant surtout face à ce qui était pour lui de la nourriture, mais rapidement les attentions de l’humain lui plurent tout comme la sécurité de la maison était apaisante après deux mois de cavalcade. Il faut dire aussi que cet humain était surprenant. Déjà il était très bavards (il savait parler seul pendant des heures), avait un visage pour le privé et un visage pour la société, mais surtout, il avait une odeur particulière qui lui rappelait celle de sa mère. Mécraï, car tel était son nom, vivait avec son père dans la maison familiale. Sa mère était partie après être devenue loup-garou. Dans le même élan de confidence il avoua penser que Morowë était l’un d’eux. Sous la surprise le loup-garou confirma les hypothèses… Allons bon… Mécraï décida tout seul de garder le loup chez lui et le faire passer pour un gros chien aux yeux de son père et des autres hurluberlus de passages. Morowë acceptât, bien que ce soit dégradant pour son égo, car il se rendait compte qu’il ne pouvait pas survivre seul à l’extérieur…
Ce fut donc une habitude de voir dans le jardin de la grande maison un gros chien brun au collier à la médaille brillante jouant avec l’enfant unique.
Le temps passa tranquillement. Morowë, caché dans l’intimité de la chambre de son humain, prenait plus souvent forme humaine pour discuter avec celui qui était son frère. Un frère humain. Un frère nourriture. Le loup vouait un véritable amour fraternel pour l’humain qui était l’unique et première personne à l’avoir accepté, d’ailleurs, quand il lui avait parlé de ses suppositions (confirmées par les traits physiques humains en commun) il crut mourir étouffé sous la joie de son frère. Mécraï se mit alors en tète d’inculquer à Morowë ce que lui disait son précepteur, allez savoir pourquoi…Bon, çà lui faisait passé le temps et Morowë apprécie d’apprendre mine de rien…
Mais le petit bonheur secret ne dura pas plus d’une année. Mécraï qui était un jeune homme froid, distant et sans amis aux yeux des gens se mit à ne plus supporter la présence de son père. Sans que le concernait ne s’en rende compte, Morowë devint le centre du monde de son frère. Frère qui devenait jaloux, agressif et perdait un peu la tète, il voyait le mal partout surtout en son père et ses associés (il tient une grande société). Il décida de s’en débarrasser le plus naturellement…
Mécraï était déjà majeur mais il y alla doucement pour ne pas être suspecté. Les attaques d’animaux étaient courantes autour de chez eux alors il décida de jouer là-dessus et il avait l’aide idéale sous la main. Les associés de son père furent plus ou moins gravement attaqués par un énorme loup vivant depuis longtemps dans le bois entourant la maison des Maïlay, selon la rumeur bien sur. Un soir le père de Mécraï partit dans le bois après une dispute avec son fils, sa dernière vision fut celle d’une médaille scintillante. Il fut retrouvé deux jours plus tard, à moitié dévoré. Il en résultat de nombreux remue-ménages qui n’intéressèrent pas Morowë. Il avait put calmer son instinct titillé par la présence d’humain et s’était fait un repas particulièrement copieux et agréable…
Dans les temps qui suivirent on put voir un jeune homme aux yeux vairons au coté de Mécraï, noblement droit et flegmatique… Morowë laissa son frère s’occuper seul de ses affaires, des enquêtes et tout ce qui avait suivit pendant quelques années la mort du père. Mécraï, lui, semblait s’amuser beaucoup et s’était à présent mit en tète de déclarer Morowë comme son frère officiel. Le loup n’aurait jamais pensé que son frère verrait ce fait comme une humanisation de sa part… Il s’en rendit compte un peu tard…
C’était dernièrement, quand son frère débarqua dans le salon en donnant l’impression d’avoir vue le bon dieu en personne. Il lui annonça qu’une fabuleuse personne avait créé une école pour que les loups-garous deviennent plus humains, mois instinctifs et tout le tralala… A coté d’un Morowë s’étouffant dans son verre d’eau son frère se mit à glorifier copieusement ce directeur si particulier… Une dispute finit par éclater entre eux. Morowë explosa littéralement en disant ne pas vouloir devenir un humain, qu’il était fier de ce qu’il était et qu’il était hors de question qu’il jouer un gentil toutou là bas. Rajoutât qu’il était certainement un des loups-garous les plus calmes et résistants face à ses instincts et qu’il ne voyait pas pourquoi il devrait aller là bas. Son frère ne voulait rien entendre eut le dernier mot en frappant là où la vérité se trouver. Morowë ne pouvait pas vivre dans une meute de loup ou survivre en solitaire, s’il voulait pouvoir vivre autrement que comme son chien, il devait vivre parmi les humains et devait exister comme tel à travers le diplôme que lui ferait gagner ces études…
Résigné, Morowë finit par accepter après un mois de disputes quotidiennes et Mécraï put ainsi continuer d’aduler cette personne qui ferait de son petit frère un humain…
Prénom/surnom : Sam
Votre âge : 17 mais on peut quasiment dire 18
Qui figure sur votre avatar ? Caïn de « Comte Cain » mais je lui ais trafiqué les yeux…
Où avez-vous découvert le forum ? Un top-site si je me souviens bien…
Sam 6 Juin - 20:07